La fête du slip
Bon, désolée pour la désaffection de ces derniers jours mais en plus du serveur de la fac qui est en panne (donc plus d’Internet au bureau = obligée de travailler, Grrrrrr !), il y a eu quelque histoire de garçon qui m’a occupée l’esprit. Rien de plus à vous raconter de ce côté-là…
Aujourd’hui, au temps maussade et frais qui règne sur la belle capitale, on devine que c’est l’été et la fête de la musique. Mais hier, le 20 juin était une journée très festive. Premièrement, c’était la fête du slip. Alors ceux qui pensent que je vais parler de sexe dans cette entrée se plantent, d’ailleurs le sexe ne m’interesse plus, je n’en parlerai plus jamais*. La fête du slip, je ne déconne pas, ça existe vraiment, la preuve ici. Et l’avantage de cette fête-là, c’est qu’elle ne vous contraindra pas à débourser quoique ce soit, contrairement à la fête des mères, des pères, des grand-mères, des Marion (attention c’est bientôt). Oui, le jour de la fête du slip, vous n’êtes même pas obligés de porter un slip, juste de coller des petits autocollants « slip » sur les petits bonshommes des panneaux de passages piétons, condamnés à se montrer tous nus le reste de l’année.
Bon, alors après le débat, cheveux courts ou cheveux long chez les filles, je pense qu’une concertation slip ou caleçon chez les gars s’impose sur ce blog. Moi, ma préférence va…au caleçon très moulant dans des matières très…matières !
A part cette réjouissance-là, hier avait lieu mon traditionnel repas d’anniversaire. Un peu en avance, certes, et sur un tout autre concept que les années précédentes. D’ordinaire, Marion fait la tambouille pendant 2 jours, éventuellement aidée d’un(e) comparse dévoué(e) à la cause, pour offrir à ses zamis chéris un gros repas ou buffet de dimanche après-midi dans le jardin des parents ou dans un parc. Seulement, au fil des ans, à cette période de l’année, les zamis fidèles sont de plus en plus contraints à divers mariages, communions, baptêmes et autres festivités familiales en province et commencent à trouver que ma jolie banlieue est loin (pourtant moi je fais le trajet Banlieueville-Paris tous les jours mais passons). Hier soir donc, j’ai opté pour la solution restau à Paris : moins cher, moins contraignant, moins d’organisation.
Bilan des courses, 10 personnes au rendez-vous (+ moi), des fous rires, des cadeaux, du bon vin, une bouffe incroyable et un super moment d’amitié que j’ai vraiment apprécié. Certains zamis ont pris quelque plaisir à m’offrir une panoplie attrayante et sexy : short ras-la-moule + T-shirt décolleté plus bijoux assortis pour, je cite, « allumer le boucher de PetiteVille » (eh oui, y a longtemps qu’on n’en avait pas parlé de celui-là !)
Pas beaucoup de photos à vous montrer, Celoo a pris une photo d’une partie de mon corps « pour mettre sur le blog » mais il faut motiver Celoo à me l’envoyer car elle est sur son appareil.
Voilà, ce soir, c’est la fête de la musique alors j’écoute George Michael à fond pour faire chier Mémé. (ben quoi, c’est la fête, si on peut plus s’amuser !). Joyeuses festivités à tous, où que vous soyez !
*Mais non, c’t’une joke !